Dès sa nomination à l’automne dernier, [Bruno Retailleau] avait déclaré dans le Journal du Dimanche que «l’État de droit, ce n’est pas intangible, ni sacré».
C’était une déclaration néofasciste pure et dure. En détruisant le sens des mots, en invoquant la «République», ces gens installent un régime sans séparation des pouvoirs, sans droits, de plus en plus inégalitaire et autoritaire. En d’autres termes : les conditions d’une dictature.
Source : Quand le ministre de l’Intérieur organise le barrage contre la gauche – Contre Attaque