Pour la police, c’est quoi être « un bon policier » ? | Rapports de Force

Journaliste et auteur du livre « Flics, un journaliste a infiltré la police », Valentin Gendrot a travaillé six mois dans le commissariat du 19eme arrondissement de Paris.

Source : Pour la police, c’est quoi être « un bon policier » ? | Rapports de Force

Édifiant…

Quelques passages :

Ce qu’on pourrait attendre des policiers : avoir de l’empathie, un sens du relationnel, c’est considéré comme un travail « d’assistante sociale » et c’est un terme employé très péjorativement. Les policiers voient leur fonction comme répressive avant tout.

Quand vous allez dans l’appartement de quelqu’un qui vient de mourir en attendant l’arrivé des pompes funèbres, il y a parfois des animaux de compagnie dont il faut s’occuper, qu’il faut recaser. Ce sont des policiers qui font cela mais c’est considéré comme de la très très basse police, réservée aux « tanches ». Les cas de violences conjugales, c’est pareil. Quand on est dans une optique de « chasse », ça n’intéresse pas grand monde.

Il y a marqué « protéger et servir » sur notre écusson… dans les faits c’est bien plus souvent réprimer et sévir.

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