#GoodMorning : Overwatch, ou quand Blizzard ose faire payer un jeu – Pop culture – Numerama

C’est dit, Overwatch ne sera pas un free to play. Une bonne nouvelle qui pose d’emblée une autre question : comment Blizzard va-t-il pouvoir monétiser son titre ?

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D’un côté, le pay to win avec Hearthstone, qui ne vous permet pas de constituer un deck sérieux sans acheter de cartes à moins d’être extrêmement chanceux.

Pff, c’est bon, je ne lis pas plus loin. Marre de lire des conneries partout sur ce jeu. Il y a un ladder, donc vous jouez avec des gens de votre niveau. Vous ne payez pas ? Vous jouerez avec des gens qui ne paient pas non plus. Pay to win mon cul, surtout qu’il n’y a rien à gagner.

Il y a plusieurs moyens de gagner des cartes :

• Les acheter (et encore, on ne peut pas acheter une carte en particulier, uniquement des boosters de cartes aléatoires)
• Gagner les missions quotidiennes (gagner 2 parties avec telle classe, poser x cartes de moins de 3 manas, infliger 30 dégâts, etc)
• Gagner votre première partie hebdomadaire en mode bras de fer, où très souvent on vous fournit un deck préfait
• Jouer en mode arène où les cartes sont aléatoires

Sans compter que pour débloquer le dos de cartes du mois, il faut monter au niveau 20 sur le ladder. On commence au niveau 25, et en cas de défaite on ne peut pas redescendre en dessous du niveau 20. Donc on ne peut que le débloquer, même si l’on est nul.

Franchement pay to win mon cul, faudrait y jouer avant de parler.