Amazon réinvente la librairie de quartier | MacGeneration

Amazon, l’ennemi des libraires ouvre… une librairie. « Amazon Books » qui est inaugurée aujourd’hui, est installée à Seattle, où se trouve le siège du groupe, dans le centre commercial University Village. Au vu des photos mises en ligne, cette librairie ressemble de prime abord à n’importe quelle autre. Mais tout est dans les détails et le principe de fonctionnement qui s’appuie très largement sur la masse de données collectée par le site de vente en ligne.

Source : Amazon réinvente la librairie de quartier | MacGeneration

Amazon se lance dans les librairies physiques.

Y’en aura toujours un pour râler que les livres proposés sont ceux qui se vendent le plus, donc qu’à terme tout le monde lira la même chose, mais avoir tous les livres présentés de face, il faut avouer que ça donne beaucoup plus envie !

A voir aussi

Vidéo-surveillance algorithmique : l’expérience « temporaire » généralisée – Contre Attaque

Un enjeu économique Ces technologies en évolution constante vers le pire font aussi l’objet d’une …

One comment

  1. Y’a tellement de choses à dire sur cet article copié-collé sans réfléchir…

    Déjà, librairie FR et librairie US, spa trop pareil.
    Les librairies indés aux USA, elles sont mortes depuis un bout de temps, tuées entre autres par Barnes and Nobles (à son tour tué par Amazon), du coup, je serais curieux de connaître le ration « livres en surface de vente / m² » entre nos deux pays.
    Je pense que les librairies FR (indés ou pas) proposent plus de choix.
    Chez Amazon, tu n’as que les best sellers (ceux qui ont le plus de pub quoi, avec ou sans intérêt). Le coup des « pépites bien commentées », ça va faire 0,01 % du stock ?

    Le prix qui change, c’est interdit en France (prix unique du livre + prix fixé par l’éditeur et non pas par le libraire).

    En France, la librairie qui « croûle » sous les invendus, elle coule.
    Un libraire peut retourner les invendus après trois mois et il le fait car stocker de l’invendu coûte cher donc encore une bêtise d’écrite.

    Une librairie de ce type en France serait la même chose qu’une FNAC mais avec moins de titres proposées, elle coulerait rapidement.

    En France, on achète sur Amazon pour ne pas se déplacer.
    S’il faut se déplacer pour avoir moins de choix, quel intérêt ?

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *